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Qu'est-ce que la littérature ?

Ecriture et lecture sont les deux faces d'un même fait d'histoire et la liberté à laquelle l'écrivain nous convie, ce n'est pas une pure conscience abstraite d'être libre. Elle n'est pas, à proprement parler, elle se conquiert dans une situation historique ; chaque livre propose une libération concrète à partir d'une aliénation particulière... Et puisque les libertés de l'auteur et du lecteur se cherchent et s'affectent à travers un monde, on peut dire aussi bien que c'est le choix fait par l'auteur d'un certain aspect du monde qui décide du lecteur, et réciproquement que c'est en choisissant son lecteur que l'écrivain décide de son sujet.
Ainsi tous les ouvrages de l'esprit contiennent en eux-mêmes l'image du lecteur auquel ils sont destinés.
10,60 €

Qu'est-ce que la philosophie indienne ?

La philosophie, comme on sait ou croit savoir, parle grec, allemand et sans doute français, mais certainement pas babylonien ou sanskrit. L'Inde a été exclue du champ de la philosophie "proprement dite" vers la fin du XVIII ? siècle. Depuis, des générations d'indianistes ont plaidé en vain pour la révision d'un procès mal instruit. Il est temps de congédier les clichés qu'entretient l'Occident sur l'Inde ancienne, censément trop absorbée par sa religiosité pour donner prise au concept.
Vincent Eltschinger et Isabelle Ratié ont choisi de diriger l'attention moins sur les traditions doctrinales que sur un choix de problèmes montrant les philosophes et les écoles à l'oeuvre, défendant leurs positions sur un mode polémique. L'accent placé sur ces points de cristallisation du débat indien - soi, autrui, monde et conscience, perception et vérité, rationalité et religion, langage, Dieu, etc.
- constitue l'originalité de l'ouvrage, qui donne à comprendre la philosophie indienne pour ce qu'elle est, dans son contexte, et non par comparaison, ce qui la priverait de son sens et de sa force.
15,50 €

Qu'est-ce que les sciences de la culture ?

Occupant une place éminente dans le panthéon contemporain des sciences sociales, Max Weber ne cesse de faire l'objet d'appropriations contradictoires qui tendent à décontextualiser ses recherches. Cet ouvrage, par contraste, offre la traduction de son premier texte épistémologique, inédit en français, accompagnée de documents et de correspondances, et permet ainsi de replacer la réflexion de Weber dans les débats de son temps. Cet article publié en plusieurs parties entre ? 1903 et 1906, exactement contemporain de L'Ethique protestante et l'" esprit " du capitalisme, montre comment un sujet qui pourrait sembler uniquement technique - la méthode spécifique des sciences de la culture - est indissociable d'enjeux académiques et politiques beaucoup plus larges. Loin d'apparaître comme un partisan d'une sociologie "? compréhensive ? " opposée à l'"? explication ? ", Weber fait de la compréhension des motivations des agents sociaux une modalité de l'explication causale. Surtout, à travers sa promotion de l'expression "? sciences de la culture ? " (Kulturwissenschaften), il ne se contente pas de garantir une spécificité à ces sciences : il se saisit d'une question toujours très brûlante, celle de la "? signification culturelle ? " du capitalisme, c'est-à-dire de la transformation de l'homme par le mode de fonctionnement de l'économie.
17,30 €

Qui a tué le Minotaure ?

En 1926, en plein carnaval à Paris, un homme portant un masque du Minotaure est assassiné. Le pianiste américain Jeremy Nelson et Sammy Eidelmann enquêtent sur cette sombre affaire. Heureusement, ils peuvent compter sur l'aide de Victor Legris, l'oncle de Jeremy qui revient de Londres.
10,20 €

Qui a tué Lucy Davis ?

Un roman à clef extrêmement bien construit d'une écriture soignée et méticuleuse dans une ambiance tendue et étouffante à la façon d'Agatha Christie. Le cadavre d'une jeune journaliste anglaise et écrivaine en herbe vient d'être découvert dans le débarras d'une magnifique villa de la petite île de Nissos, dans le Dodécanèse. En raison des vents très fréquents en ce mois d'août en mer Egée, l'île se trouve isolée.
Le cadavre ne peut donc pas être transféré à la morgue de Rhodes et la police scientifique ne peut rejoindre l'île pour enquêter. Alors qu'il est venu passé quelques jours de repos chez son cousin, Christophoros Markou, capitaine de police au département des Homicides à Athènes, va devoir mener seul l'enquête, assisté d'un jeune cadet de la police locale. Puisque le meurtrier ne peut quitter l'île, il lui faut examiner tous les éléments au plus vite.
C'est une course contre la montre qui commence puisqu'il n'a que quelques jours devant lui, avant que les vents baissent et que le coupable puisse fuir par le prochain bateau.
22,90 €

Quinzinzinzili

Bien sûr, cela fait des décennies que la littérature nous annonce l'anéantissement de la race humaine, notre capacité à nous détruire ne se discutant plus. Beaucoup de livres pour un sujet aussi crucial, mais dans le lot peu de chefs-d'oeuvre... Quinzinzinzili, ce roman au titre improbable, est pourtant de ceux-là, ses rares lecteurs n'en démordent pas, qui s'étonnent toujours de son ironie visionnaire, de son pessimisme halluciné et de ses trouvailles géniales.
Publié en 1935, il a été imaginé par Régis Messac, considéré comme l'un des précurseurs du genre, et nous entraîne après le cataclysme, à la suite du dernier des adultes, témoin stupéfait de la renaissance du genre humain : sous ses yeux désabusés, un groupe d'enfants réinvente une Humanité dont l'Histoire a disparu. Et Messac, qui sait que la Civilisation est mortelle, nous offre le spectacle d'une poignée de gosses en train de lui régler son compte...
Stupéfiant, Quinzinzinzili renaît et devrait susciter l'admiration de ceux qui croient davantage aux vertus des Lettres qu'à celles de l'Homme.
8,20 €

Quinzinzinzili

Bien sûr, cela fait des décennies que la littérature nous annonce l'anéantissement de la race humaine, notre capacité à nous détruire ne se discutant plus. Quinzinzinzili fait partie des rares grands romans post-apocalyptiques et étonne toujours par son ironie visionnaire, son pessimisme halluciné et ses trouvailles géniales. Publié en 1935, il a été imaginé par Régis Messac (1893-1945), considéré comme l'un des précurseurs du genre, et nous entraîne après le cataclysme, à la suite du dernier des adultes, témoin stupéfait de la renaissance du genre humain : sous ses yeux désabusés, un groupe d'enfants réinvente une Humanité dont l'Histoire a disparu.
Et Messac, qui sait que la Civilisation est mortelle, nous offre le spectacle d'une poignée de gosses en train de lui régler son compte...
17,30 €

Qui-vive

Mathilde est devenue insomniaque. Puis elle a perdu le sens du toucher. Il y a eu d'autres signes : des feuillets retrouvés à la mort de son grand-père, une vidéo de Leonard Cohen à Jérusalem, le retour de la guerre en Europe. Mathilde est désorientée. Est-ce pour cela qu'elle décide subitement de prendre un avion pour Israël ?? Comme si la réponse aux questions qu'elle se pose l'attendait là-bas depuis toujours. De Tel-Aviv à Capharnaüm, puis à Jérusalem, ses rencontres avec des inconnus - et quelques fantômes - ne font qu'approfondir le mystère. Jusqu'au moment où, dans un éclair, la vérité lui apparaît. Prenant l'Histoire à bras-le-corps, Qui-vive est aussi l'itinéraire d'une femme qui cherche à réconcilier son paysage intérieur avec le monde qui l'entoure. Un roman aux multiples facettes qui confirme de manière éclatante le talent de son auteure.
22,40 €

Rabelais, que le roman commence ! : essai

Rabelais est le père fondateur de l'art du roman. Telle est l'hypothèse que soutient Lakis Proguidis suivant plusieurs chemins qui s'entrecroisent tout au long du livre. L'auteur passe alors de la comparaison de Rabelais avec les grands ancêtres aux souvenirs personnels, de la farce à la linguistique, de l'Histoire à la critique de la critique, de l'analyse scrupuleuse du texte au fait divers, d'Homère à l'actualité... « Chez Rabelais, et bien entendu chez tous les romanciers, la forme passée n'est ni un phare indéfectible (classicisme), ni une réalisation passagère (avant-gardisme), mais une pièce de tissu toujours à rapiécer et toujours à broder avec de nouveaux motifs existentiels. » Quoique le hasard joue un grand rôle, rien n'est arbitraire. Tout cela tourbillonne autour du même noyau esthétique, nommé ici pour la première fois : le rire romanesque.
26,90 €

Raoul Taffin tombe à l'eau

Raoul Taffin enfile son habit d'homme-grenouille, et plouf ! Sa mission : retrouver l'épave d'un vieux bateau. Fastoche, pour le roi des plongeurs. Sauf que l'océan est plein de surprises. Mauvaises, surtout. Dès 6-7 ans
5,20 €