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Biography

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Le vieux saltimbanque

Dans ces mémoires à la troisième personne, l'écrivain au crépuscule de sa vie livre ses souvenirs : enfance, mariage, création littéraire, amours et amitiés, célébration des plaisirs de ta table, alcools et paradis artificiels... Jim Harrison revient sur des épisodes tantôt fondateurs tantôt anecdotiques de son existence, un exubérant pied de nez à la mort qui se profile. Véritable testament littéraire, ces humbles et ultimes confessions en marge de toutes les conventions sont à l'image de Big Jim : plus libre, plus touchant et plus provocateur que jamais.
6.00 €

Les Confessions

Je forme une entreprise qui n'eut jamais d'exemple et dont l'exécution n'aura point d'imitateur. Je veux montrer à mes semblables un homme dans toute la vérité de la nature; et cet homme ce sera moi. Moi, seul. Je sens mon cœur et je connais les hommes. Je ne suis fait comme aucun de ceux que j'ai vus; j'ose croire n'être fait comme aucun de ceux qui existent. Si je ne vaux pas mieux, au moins je suis autre. Si la nature a bien ou mal fait de briser le moule dans lequel elle m'a jeté, c'est ce dont on ne peut juger qu'après m'avoir lu.
8.50 €

Les derniers jours de Stefan Zweig

« Ce temps-là ne reviendra pas. Jamais plus les flâneries sur le pont Elisabeth, les marches sur la Grande Allée du Prater, l'éclat des dorures du palais Schönbrunn, ni le long déploiement du soleil rougeoyant sur les rives du Danube. La nuit était tombée pour toujours. » Le 22 février 1942, en exil au Brésil, Stefan Zweig et sa femme Lotte mettent fin à leurs jours, dans un geste désespéré, mûri au coeur de la tourmente. Des fastes de Vienne à l'appel des ténèbres, ce roman restitue les six derniers mois du grand humaniste devenu paria et de son épouse. Deux êtres emportés par l'épouvante de la guerre : Lotte, éprise jusqu'au sacrifice ultime, et Stefan Zweig, inconsolable témoin du « monde d'hier ». « Un roman d'une beauté bouleversante. » ¤ Le nouvel observateur
6.10 €

Lettres à un ami allemand

... Je ne déteste que les bourreaux. Tout lecteur qui voudra bien lire les Lettres à un ami allemand dans cette perspective, c'est-à-dire comme un document de la lutte contre la violence, admettra que je puisse dire maintenant que ne n'en renie pas un seul mot. Albert Camus (1948). Les quatre Lettres à un ami allemand, écrites sous l'Occupation et destinées à des publications clandestines, expriment déjà la doctrine de La peste et de L'homme révolté. Elles se placent sous l'invocation de Senancour qui, en une formule saisissante, avait résumé la philosophie de la révolte : " L'homme est périssable. Il se peut ; mais périssons en résistant, et si le néant nous est réservé, ne faisons pas que ce soit une justice ! "
9.00 €

L'herbe bleue : journal d'une jeune fille de 15 ans

Journal d'une jeune fille qui après sa découverte du LSD va sombrer dans la toxicomanie. Elle livre un document brut sans concessions.
5.50 €

Lucette Destouches, épouse Céline

Après ses cent ans, Lucette Destouches a continué à danser, sur ses souvenirs mais aussi sur la cocasserie de sa vie présente et des personnages connus et inconnus qui l'entourent. C'est une Lucette nouvelle que l'on découvre ici, aux prises avec le grand âge mais aussi pleine d'humour et de fantaisie. « Un lutin de gaieté », comme l'appelait Céline. Véronique Robert-Chovin, son amie et sa complice, dévoile quelques-uns des secrets de Lucette du temps où elle vivait avec Louis-Ferdinand Céline.
16.00 €

Manderley for ever

"Je l'ai décrite comme si je la filmais, caméra à l'épaule, afin que mes lecteurs comprennent d'emblée qui elle était. J'ai décrypté ses livres, sa voix, son regard, sa façon de marcher, son rire. J'ai écouté ses enfants, ses petits-enfants. Autour des maisons qu'elle aimait avec passion, j'ai dressé le portrait d'une écrivaine atypique et envoûtante, méprisée des critiques parce qu'elle vendait des millions de livres. 
Son univers macabre et fascinant a engendré une oeuvre complexe, étonnamment noire, à l'opposé de l'étiquette "eau de rose" qui lui fut si injustement attribuée. Ce livre se lit comme un roman, mais je n'ai rien inventé. Tout y est vrai. C'est le roman d'une vie." Tatiana de Rosnay.
6.60 €

Marâtre patrie

Lorsque la guerre civile qui déchire son pays l'oblige à partir pour l'exil en 1948, Mihàlis Ganas a quatre ans. Et dix ans à son retour, en 1954. Et trente-six en 1980 quand il raconte cette enfance bouleversée, qui l'a marqué à jamais, dans Marâtre patrie. Nous le suivons en Albanie, puis en Hongrie, puis dans le village perdu d'Épire où il vivra jusqu'à l'âge d'homme. La mauvaise mère, ce n'est pas la Hongrie plutôt accueillante, mais la mère patrie, la Grèce des années 50, qui inflige à ses entants la misère économique et la répression politique. Pour décrire ces années terribles, dire le désordre de la mémoire avec ses souvenirs fulgurants et fragmentaires, dire surtout la fureur du monde qu'un enfant découvre et ne comprend pas, Ganas - qui par ailleurs est l'un des plus grands poètes grecs de son temps - invente une langue inouïe, rugueuse et raffinée, proche de celle des paysans de son enfance et en même temps de celle des poètes. Voilà pourquoi, dans Marâtre patrie, qu'on a pu qualifier de « récit-poème », on prend la réalité en pleine figure. Michki Volkovitch
15.00 €

Marie Stuart

Reine d'Ecosse à l'âge de 6 jours en 1542, reine de France à 17 ans en épousant François II, exécutée à 45 ans sur ordre d'Elisabeth Ire, Marie Stuart reste une des grandes figures de l'histoire britannique. Une biographie précise, publiée en 1935, et fondée sur une critique serrée des documents et des témoignages.
7.40 €

Marie-Laure de Noailles - La vicomtesse du bizarre

Descendante du sulfureux marquis de Sade, protectrice des artistes surréalistes et "Lolita" de Cocteau, Marie Laure de Noailles (1902-1970) a vécu un destin exceptionnel. Laurence Benaïm rend hommage à cette inclassable vicomtesse du bizarre. Née en 1902, issue d'une dynastie de banquiers allemands et de l'aristocratie française, l'extravagante Marie Laure résume les contradictions du siècle. Etrange et iconoclaste, étincelante et généreuse, elle fut à la fois l'enfant qui déchira les lettres que Proust envoyait à sa grand-mère et l'épouse de Charles de Noailles, avec lequel elle confia à Robert Mallet-Stevens la construction d'une villa cubiste à Hyères et à Jean-Michel Frank la décoration de son salon parisien. Cette amie de René Crevel, Christian Bérard, Louis Aragon et Kurt Weill fut aussi la mécène de L'Age d'or, le film de Bunuel qui fit scandale. Figure incontestée de la "café society" , elle fut de bien des querelles artistiques et endura les blessures d'amour jusqu'à sa mort en 1970.
13.80 €