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A la maison

Cheminer à travers la maison, ou l'appartement, de pièce en pièce, photo après photo, pour découvrir le premier environnement dans lequel évolue l'enfant. Une collection à travers laquelle documentaire rime avec photographie pour les petits Cette collection a pour visée de mettre en mots les éléments du quotidien de l'enfant, de le faire voyager dans des univers qui lui sont familiers et de créer un récit, par effet miroir, au fil des images. L'imagerie photographique, par son réalisme, est le moyen idéal pour les petits dès 2 ans d'observer ce qui les entoure, pour décrire et mieux comprendre leur environnement. La maison sous toutes ses coutures Dans cet album de 24 pages, l'enfant parcourt les pièces qui font de la maison, ou de l'appartement, son cocon. Il voyage de la porte d'entrée vers la cuisine, la salle à manger, le salon, l'escalier, la chambre des parents, la chambre des enfants, la salle de bains et le jardin. Dans chaque image, il retrouve les objets qu'il connaît bien : la boîte aux lettres, le pot, la chaise haute, le canapé... et en découvre d'autres qu'il apprend à nommer. Une collaboration avec une artiste photographe dédiée au monde de l'enfance Caroline Fabre, diplômée de l'Ecole supérieure nationale de la photographie d'Arles, se spécialise dans l'univers des tout-petits. Avec spontanéité et tendresse, elle capture leurs premières découvertes, leurs instants de joie, leurs humeurs... en mettant la rencontre et l'échange avec ses sujets au coeur de son approche. Un objet à la fabrication en parfaite adéquation avec son public Le livre est composé de 24 pages vernies. Son format est petit, pratique pour être transporté et agrippé par les petites mains. Sa maquette est aérée, avec des photographies lisibles à la portée des tout-petits. Les professionnels du monde de l'enfance en parlent "La collection "Mon petit monde" est comme une fenêtre sur le monde pour ces tout-petits. Cette découverte de l'environnement qui les entoure peut les éveiller au monde, et favoriser leur interaction avec les autres. Elle leur permet de se familiariser avec des scènes, des images, des situations du quotidien, et de les décoder ainsi avec plus de facilité. Globalement, leur sens de l'observation n'en est que plus efficient". Nellie Houetto, pédiatre Témoignage de Nathalie, maman de Marin (18 mois), à propos de la collection "Enorme succès que ces petits albums photo sur mon fils ! Il les adore ! Il les a tout de suite pris en main et manipulés avec délicatesse, dans le bon sens... Et il s'est mis à fouiller dans les images ce qu'il y reconnaissait en y associant les mots qu'il connaît. Son truc du moment, c'est les "dadas" et les "ouaf-ouaf", donc il a cherché tout ce qui y ressemblait de près ou de loin. Passion pour l'avion dans le ciel, tout en me montrant la petite maquette d'avion qu'il a en décoration dans sa chambre. Les éoliennes, trop marrant : on en a vu le week-end lors d'un voyage en train, et bah là il a été hypercontent de me montrer qu'il savait ce que c'était ! Hypertouchant, tout est bien vu, une collection de livres super bien sentis pour les petits qui découvrent le langage". "Le plus de ces imagiers, c'est qu'ils nous proposent un cheminement, une balade en ville, dans la forêt ou dans la maison en se mettant à hauteur d'enfant". Librairie Quai des mots (Epinal)
7.90 €

A la recherche du temps perdu - A l'ombre des jeunes filles en fleurs . Volume 1

En vacances à Balbec, le narrateur, adolescent, ressent ses premiers émois amoureux et artistiques. Il y rencontre Albertine. Texte établi d'après l'édition originale et annoté. Prix Goncourt 1919.
9.20 €

A la recherche du temps perdu : Sodome et Gomorrhe - T.3-2 - Albertine disparue

Albertine disparue est le dernier volume revu et remanié par Proust avant sa mort. Prévu d'abord sous le titre La Fugitive, comme le pendant de La Prisonnière, il présente la fin de l'épisode d'Albertine: sa fuite, sa mort, le chagrin, puis l'oubli. Le huis-clos de La Prisonnière s'achève, non sur l'apaisement, mais sur une multiplication des regrets et des enquêtes posthumes. Un long passage conduit Marcel à Venise, depuis toujours cité de ses désirs, maintenant univers thématique dense où nous retrouvons sa mère, Mme de Villeparisis et M. de Norpois. Il s'y livre à la fois à l'éblouissement esthétique et à de nouvelles poursuites amoureuses. À la fin de sa vie, Proust songeait à développer ses recherches sur l'homosexualité dans un Sodome et Gomorrhe IV, un Sodome et Gomorrhe V et au-delà, avant d'en arriver au Temps retrouvé. D'où les remaniements profonds - allant jusqu'à l'étonnante suppression des deux-tiers du volume - qu'il fit subir à Albertine disparue, sans pouvoir les conduire à leur terme. Nous donnons de cette partie l'édition qui nous paraît la plus plausible, comprenant le texte initialement prévu et faisant apparaître clairement les modifications apportées dans les derniers jours.
10.40 €

A la recherche du temps perdu : Sodome et Gomorrhe - Tome 1

"Nous entendions la voix de M. de Charlus tout près de nous : "Comment ? vous vous appelez Victurnien, comme dans Le Cabinet des Antiques", disait le Baron pour prolonger la conversation avec les deux jeunes gens. "De Balzac; oui", répondit l'aîné des Surgis qui n'avait jamais lu une ligne du romancier, mais à qui son professeur avait signalé, il y avait quelques jours, la similitude de son prénom avec celui de d'Esgrignon. Mme de Surgis était ravie de voir son fils briller et M. de Charlus extasié devant tant de science."
8.10 €

A la recherche du temps perdu : Sodome et Gomorrhe - Tome 2

«Au nombre des habitués de Mme Verdurin, et le plus fidèle de tous, comptait maintenant depuis plusieurs mois M. de Charlus. Régulièrement, trois fois par semaine, les voyageurs qui stationnaient dans les salles d'attente ou sur le quai de Donciéres-Ouest voyaient passer ce gros homme aux cheveux gris, aux moustaches noires, les lèvres rougies d'un fard qui se remarque moins à la fin de la saison que l'été où le grand jour le rendait plus cru et la chaleur à demi liquide. Tout en se dirigeant vers le petit chemin de fer, il ne pouvait s'empêcher (seulement par habitude de connaisseur, puisque maintenant il avait un sentiment qui le rendait chaste ou du moins, la plupart du temps, fidèle) de jeter sur les hommes de peine, les militaires, les jeunes gens en costume de tennis, un regard furtif, à la fois inquisitorial et timoré, après lequel il baissait aussitôt ses paupières sur ses yeux presques clos avec l'onction d'un ecclésiastique en train de dire son chapelet, avec la réserve d'une épouse vouée à son unique amour ou d'une jeune fille bien élevée.»
9.80 €

A l'école des lettres

Dans une dimension parallèle, tous les plus grands auteurs de la littérature sont enfants et doivent aller apprendre leur métier à l'Ecole des Lettres. Les élèves sont inscrits dans la classe correspondant au siècle au cours duquel ils ont vécu. Dans la classe XIX, un certain Victor Hugo, nouvel arrivant, va rencontrer ses camarades : Baudelaire, Balzac, Flaubert, Maupassant, Michel, Sand, Zola... Comment sont les cours ? Les sorties ? Qui redoublera ? Qui aura la chance de passer en XXe ? Est-ce qu'ils apprendront des sorts comme dans Harry Potter ? Une des séries les plus plébiscitées sur Mâtin !
21.90 €

A l'ombre des grecs - Trois "inactuels" : Camus, Grenier, Eliade

C'est comme un testament grec de trois hérétiques que nous proposons ici. La Grèce parangon philosophique de l'Occident inaugure en effet avec Héraclite, puis Platon, une pensée du devenir dans l'Etre ou plutôt du revenir à l'Etre qui fonde la métaphysique européenne et ouvre un dialogue ininterrompu avec les métaphysiques orientales et extrême-orientales. L'essai qui suit a pour but de témoigner de ce legs qui perdure jusque chez trois de nos contemporains les plus proches, Camus "L'athée de rigueur", Grenier le philosophe de l'Absolu et du choix, Eliade herméneute, phénoménologue et dernier grand comparatiste des religions à la fin du XXème siècle.
13.80 €

A l'ouest de la tristesse, précédé de Les élégies d'Oxopetra

Cette édition donne à lire les deux derniers recueils d'Odysseas Elytis, prix Nobel de littérature, dans une version bilingue, Les Élegies d'Oxopétra, publié en 1991, et À l'ouest de la tristesse, paru en 1995 un an avant la mort du poète grec. Elytis y déploie toute la force tellurique du poème, dans une langue incantatoire qui submerge le monde, le révèle dans sa dimension solaire, dans une profusion d'éléments coutumiers chez le poète : les vagues de cette « mer affamée », la lumière de l'été, la terre dure et tout l'entrelacs, toute la confusion des golfes, des archipels et des horizons. S'il est « minuit passé dans toute ma vie » dit Elytis, il ne reste pas moins les dieux, les éblouissements, les êtres aimés roulés dans les vagues, une nuance tragique de l'existence, une légende dans ces élégies qui transfigurent la mort et la souffrance. La lumière recouvre tout en un jeu de réverbération entre les images, et rebondit à la surface des choses - parfums d'herbes brûlées, oliveraies, flèches de clochers, montagnes antiques - pour en révéler la puissance, la clarté, l'odeur et la vitalité. Lumière qui révèle des souches plus sombres aussi, à la fois invoquées et révoquées dans une lutte sauvage, abîmes dissous dans les reflets du soleil sur les vagues, monstres changés en oiseaux. « L'extérieur est un miroir » et la langue ici chargée d'histoire, de citrons et de lauriers va chercher au-dehors le plus vaste et le plus éblouissant ce qui s'agite en soi dedans. Nous voilà plongés dans la trame du destin, plongés en nous-mêmes dans le monde, car « c'est dans le corps que la nature habite » et quelle autre révélation possible que celle de notre mortalité, même solaire, nous qui sommes de passage sur une terre en proie à une tout autre éternité que la nôtre ? Jamais crépuscule n'aura été aussi lumineux que dans ces derniers textes, où Elytis cherche à saisir une jeunesse immortelle, dotée de la durée des siècles, mais aussi fragile et gracile - une enfance, dans un mouvement qui voudrait donner le vertige à la mer elle-même, « tout passe moins le poids de l'âme », oui, et « la Poésie seule est ce qui demeure. »
23.00 €

A quatre mains

Yolaine, la trentaine, apprend que sa mère est atteinte d'une maladie incurable. L'annonce vient bouleverser l'équilibre fragile de sa vie, et son rapport aux autres. La maladie lui prend sa mère mais lui rend sa soeur, Armelle, qu'elle n'avait jusque-là pas eu l'autorisation d'aimer. Comme dans un jeu de piste entre la France et la Grèce, des indices sur les non-dits de sa famille et sur la complexité des êtres humains qui la composent sont disséminés tout au long des chapitres. Au fil des pages, les vérités préétablies qui jalonnent l'existence de Yolaine volent en éclat, tandis que sa soeur se révèle être un personnage solaire.
19.00 €