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A l'école des lettres

Dans une dimension parallèle, tous les plus grands auteurs de la littérature sont enfants et doivent aller apprendre leur métier à l'Ecole des Lettres. Les élèves sont inscrits dans la classe correspondant au siècle au cours duquel ils ont vécu. Dans la classe XIX, un certain Victor Hugo, nouvel arrivant, va rencontrer ses camarades : Baudelaire, Balzac, Flaubert, Maupassant, Michel, Sand, Zola... Comment sont les cours ? Les sorties ? Qui redoublera ? Qui aura la chance de passer en XXe ? Est-ce qu'ils apprendront des sorts comme dans Harry Potter ? Une des séries les plus plébiscitées sur Mâtin !
21.90 €

A l'ombre des grecs - Trois "inactuels" : Camus, Grenier, Eliade

C'est comme un testament grec de trois hérétiques que nous proposons ici. La Grèce parangon philosophique de l'Occident inaugure en effet avec Héraclite, puis Platon, une pensée du devenir dans l'Etre ou plutôt du revenir à l'Etre qui fonde la métaphysique européenne et ouvre un dialogue ininterrompu avec les métaphysiques orientales et extrême-orientales. L'essai qui suit a pour but de témoigner de ce legs qui perdure jusque chez trois de nos contemporains les plus proches, Camus "L'athée de rigueur", Grenier le philosophe de l'Absolu et du choix, Eliade herméneute, phénoménologue et dernier grand comparatiste des religions à la fin du XXème siècle.
13.80 €

A l'ouest de la tristesse, précédé de Les élégies d'Oxopetra

Cette édition donne à lire les deux derniers recueils d'Odysseas Elytis, prix Nobel de littérature, dans une version bilingue, Les Élegies d'Oxopétra, publié en 1991, et À l'ouest de la tristesse, paru en 1995 un an avant la mort du poète grec. Elytis y déploie toute la force tellurique du poème, dans une langue incantatoire qui submerge le monde, le révèle dans sa dimension solaire, dans une profusion d'éléments coutumiers chez le poète : les vagues de cette « mer affamée », la lumière de l'été, la terre dure et tout l'entrelacs, toute la confusion des golfes, des archipels et des horizons. S'il est « minuit passé dans toute ma vie » dit Elytis, il ne reste pas moins les dieux, les éblouissements, les êtres aimés roulés dans les vagues, une nuance tragique de l'existence, une légende dans ces élégies qui transfigurent la mort et la souffrance. La lumière recouvre tout en un jeu de réverbération entre les images, et rebondit à la surface des choses - parfums d'herbes brûlées, oliveraies, flèches de clochers, montagnes antiques - pour en révéler la puissance, la clarté, l'odeur et la vitalité. Lumière qui révèle des souches plus sombres aussi, à la fois invoquées et révoquées dans une lutte sauvage, abîmes dissous dans les reflets du soleil sur les vagues, monstres changés en oiseaux. « L'extérieur est un miroir » et la langue ici chargée d'histoire, de citrons et de lauriers va chercher au-dehors le plus vaste et le plus éblouissant ce qui s'agite en soi dedans. Nous voilà plongés dans la trame du destin, plongés en nous-mêmes dans le monde, car « c'est dans le corps que la nature habite » et quelle autre révélation possible que celle de notre mortalité, même solaire, nous qui sommes de passage sur une terre en proie à une tout autre éternité que la nôtre ? Jamais crépuscule n'aura été aussi lumineux que dans ces derniers textes, où Elytis cherche à saisir une jeunesse immortelle, dotée de la durée des siècles, mais aussi fragile et gracile - une enfance, dans un mouvement qui voudrait donner le vertige à la mer elle-même, « tout passe moins le poids de l'âme », oui, et « la Poésie seule est ce qui demeure. »
23.00 €

A quatre mains

Yolaine, la trentaine, apprend que sa mère est atteinte d'une maladie incurable. L'annonce vient bouleverser l'équilibre fragile de sa vie, et son rapport aux autres. La maladie lui prend sa mère mais lui rend sa soeur, Armelle, qu'elle n'avait jusque-là pas eu l'autorisation d'aimer. Comme dans un jeu de piste entre la France et la Grèce, des indices sur les non-dits de sa famille et sur la complexité des êtres humains qui la composent sont disséminés tout au long des chapitres. Au fil des pages, les vérités préétablies qui jalonnent l'existence de Yolaine volent en éclat, tandis que sa soeur se révèle être un personnage solaire.
19.00 €

A son image

Par une soirée d'août, Antonia, une jeune photographe, trouve la mort sur une route de Calvi. L'office funèbre de la défunte sera célébré par un prêtre qui n'est autre que son oncle et parrain, lequel, pour faire rempart à son infinie tristesse, s'est promis de s'en tenir strictement aux règles édictées par la liturgie. Mais, dans la fournaise de la petite église, les images déferlent de toutes les mémoires, reconstituant la trajectoire de l'adolescente, de la jeune fille qui, au milieu des années 1980, s'est jetée dans les bras d'un trop séduisant militant nationaliste avant de se résoudre à travailler pour un quotidien local.
Et d'enfin se décider à partir, en 1991, pour l'ex-Yougoslavie, attirée comme tant d'autres avant elle dans le champ magnétique de la guerre. De l'échec de l'individu à l'examen douloureux des apories de toute représentation, Jérôme Ferrari explore, avec ce roman bouleversant d'humanité, les liens ambigus qu'entretiennent l'image, la photographie, le réel et la mort.
9.40 €

À son image

Un roman consacré à une photographe décédée qui aborde le nationalisme corse, la violence des conflits contemporains et les liens troubles entre l'image, la photographie, le réel et la mort.
19.00 €

A travers la mort - Mémoires inédits, 1886-1890

L'histoire des Mémoires de Louise Michel est étonnante. Le livre qu'elle publie sous ce titre, chez l'éditeur Roy, en 1886 est présenté comme un " premier tome " mais reste sans suite. Où donc était le second ? Longtemps réputé disparu ou fabuleux, le voici retrouvé, dans son intégralité. Comble d'ironie, Louise Michel l'avait bien fait paraître de son vivant... en soixante-neuf feuilletons, dans un journal socialiste de 1890. Ce volume court sur la période 1886-1890, qui s'ouvre après la mort de la mère, Marianne Michel, et de l'idole, Victor Hugo, pour se refermer en août 1890 (dans le sillage d'un 1er Mai remuant), quand Louise Michel quitte Paris pour Londres. Dans son écriture acérée, tumultueuse, Louise Michel tisse le présent, le passé et les visions en avant. Qu'est-ce que la mémoire, les mémoires, le moi ? Qu'est-ce que l'écriture et l'action ? Qu'est-ce que traverser la vie et la mort ? Cette édition de Claude Rétat, directrice de recherche au CNRS, spécialiste de l'oeuvre de Louise Michel, est étayée par les archives et les manuscrits, enrichie d'un dossier et d'une présentation.
16.70 €

ABC le hibou - Avec 6 pages de gommettes repositionnables

Apprends rapidement l'alphabet avec cet adorable livre d'autocollants et de coloriages. De A à Z, un personnage amusant incarne chaque lettre. La grosse lettre autocollante stimulera la reconnaissance et la motricité fine.
8.00 €