« La beauté de votre livre est inouïe par sa superposition des touches, par cette métempsychose des fleurs qui se superpose à la rugosité de l’histoire, sous le regard du “dieu bilingue” et la main porteuse d’argile, celle de l’amie des hiboux, dans un univers à dire “avec les mots, avec les mains”.
C’est une délicatesse forte qui malaxe cette matière,et désigne un point obscur. »
Jean-Pierre Faye