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A comme Eiffel

Une évocation de la face cachée de Gustave Eiffel, et plus particulièrement de son rapport particulier avec sa cousine Alice, avec laquelle il entretient une relation secrète. Muse dont l'initiale lui inspire la forme finale de sa célèbre tour, elle apporte une touche de romantisme dans la vie de l'ingénieur.
21,00 €

A la découverte des lettres d'amour des grands écrivains

Cet ouvrage réunit des extraits de lettres d'amour issus des correspondances d'écrivains français, permettant ainsi l'étude du genre épistolaire. Pour chaque extrait, des questions de réflexion sont proposées. Brigitte Lancien-Despert est professeur de Lettres et enseigne à l'Institut Catholique de Paris.
13,80 €

A la maison

Cheminer à travers la maison, ou l'appartement, de pièce en pièce, photo après photo, pour découvrir le premier environnement dans lequel évolue l'enfant. Une collection à travers laquelle documentaire rime avec photographie pour les petits Cette collection a pour visée de mettre en mots les éléments du quotidien de l'enfant, de le faire voyager dans des univers qui lui sont familiers et de créer un récit, par effet miroir, au fil des images. L'imagerie photographique, par son réalisme, est le moyen idéal pour les petits dès 2 ans d'observer ce qui les entoure, pour décrire et mieux comprendre leur environnement. La maison sous toutes ses coutures Dans cet album de 24 pages, l'enfant parcourt les pièces qui font de la maison, ou de l'appartement, son cocon. Il voyage de la porte d'entrée vers la cuisine, la salle à manger, le salon, l'escalier, la chambre des parents, la chambre des enfants, la salle de bains et le jardin. Dans chaque image, il retrouve les objets qu'il connaît bien : la boîte aux lettres, le pot, la chaise haute, le canapé... et en découvre d'autres qu'il apprend à nommer. Une collaboration avec une artiste photographe dédiée au monde de l'enfance Caroline Fabre, diplômée de l'Ecole supérieure nationale de la photographie d'Arles, se spécialise dans l'univers des tout-petits. Avec spontanéité et tendresse, elle capture leurs premières découvertes, leurs instants de joie, leurs humeurs... en mettant la rencontre et l'échange avec ses sujets au coeur de son approche. Un objet à la fabrication en parfaite adéquation avec son public Le livre est composé de 24 pages vernies. Son format est petit, pratique pour être transporté et agrippé par les petites mains. Sa maquette est aérée, avec des photographies lisibles à la portée des tout-petits. Les professionnels du monde de l'enfance en parlent "La collection "Mon petit monde" est comme une fenêtre sur le monde pour ces tout-petits. Cette découverte de l'environnement qui les entoure peut les éveiller au monde, et favoriser leur interaction avec les autres. Elle leur permet de se familiariser avec des scènes, des images, des situations du quotidien, et de les décoder ainsi avec plus de facilité. Globalement, leur sens de l'observation n'en est que plus efficient". Nellie Houetto, pédiatre Témoignage de Nathalie, maman de Marin (18 mois), à propos de la collection "Enorme succès que ces petits albums photo sur mon fils ! Il les adore ! Il les a tout de suite pris en main et manipulés avec délicatesse, dans le bon sens... Et il s'est mis à fouiller dans les images ce qu'il y reconnaissait en y associant les mots qu'il connaît. Son truc du moment, c'est les "dadas" et les "ouaf-ouaf", donc il a cherché tout ce qui y ressemblait de près ou de loin. Passion pour l'avion dans le ciel, tout en me montrant la petite maquette d'avion qu'il a en décoration dans sa chambre. Les éoliennes, trop marrant : on en a vu le week-end lors d'un voyage en train, et bah là il a été hypercontent de me montrer qu'il savait ce que c'était ! Hypertouchant, tout est bien vu, une collection de livres super bien sentis pour les petits qui découvrent le langage". "Le plus de ces imagiers, c'est qu'ils nous proposent un cheminement, une balade en ville, dans la forêt ou dans la maison en se mettant à hauteur d'enfant". Librairie Quai des mots (Epinal)
7,90 €

A la recherche du temps perdu - A l'ombre des jeunes filles en fleurs . Volume 1

En vacances à Balbec, le narrateur, adolescent, ressent ses premiers émois amoureux et artistiques. Il y rencontre Albertine. Texte établi d'après l'édition originale et annoté. Prix Goncourt 1919.
9,20 €

A la recherche du temps perdu : Le côté de Guermantes - T.1

Après les déceptions d'A l'Ombre des jeunes filles en fleurs, Le Côté de Guermantes, versant opposé du Côté de chez Swann, est encore un roman de la désillusion. Introduit dans le monde des Guermantes - auréolé depuis l'enfance des couleurs du mythe -, le narrateur prend progressivement et douloureusement conscience de la non-coïncidence des noms et des personnes, que seul l'écrivain qu'il deviendra parviendra après coup à réconcilier.
10,30 €

A la recherche du temps perdu : Le côté de Guermantes - T.2

«Etait-ce vraiment à cause de dîners tels que celui-ci que toutes ces personnes faisaient toilette et refusaient de laisser pénétrer des bourgeoises dans leurs salons si fermés ? Pour des dîners tels que celui-ci ? Pareils si j'en avais été absent ? J'en eus un instant le soupçon, mais il était trop absurde. Ainsi s'interroge le narrateur, au sortir d'un diner chez la duchesse de Guermantes, qui lui a fait la surprise de l'inviter. De la mort de la grand-mère à l'annonce de celle de Swann, visites et surprises se succèdent dans ce volume où l'on découvre que le paillasson du vestibule des Guermantes n'était pas le seuil mais «le terme du monde enchanté des noms». Au cours de divers déplacements en voiture, le narrateur réfléchit à la place que les heures perdues dans le monde devront tenir dans l'œuvre à faire. Et c'est dans le salon des Guermantes qu'il élabore une théorie de la composition qui semble bien être celle de A la recherche du temps perdu.
10,30 €

A la recherche du temps perdu : Sodome et Gomorrhe - T.3-2 - Albertine disparue

Albertine disparue est le dernier volume revu et remanié par Proust avant sa mort. Prévu d'abord sous le titre La Fugitive, comme le pendant de La Prisonnière, il présente la fin de l'épisode d'Albertine: sa fuite, sa mort, le chagrin, puis l'oubli. Le huis-clos de La Prisonnière s'achève, non sur l'apaisement, mais sur une multiplication des regrets et des enquêtes posthumes. Un long passage conduit Marcel à Venise, depuis toujours cité de ses désirs, maintenant univers thématique dense où nous retrouvons sa mère, Mme de Villeparisis et M. de Norpois. Il s'y livre à la fois à l'éblouissement esthétique et à de nouvelles poursuites amoureuses. À la fin de sa vie, Proust songeait à développer ses recherches sur l'homosexualité dans un Sodome et Gomorrhe IV, un Sodome et Gomorrhe V et au-delà, avant d'en arriver au Temps retrouvé. D'où les remaniements profonds - allant jusqu'à l'étonnante suppression des deux-tiers du volume - qu'il fit subir à Albertine disparue, sans pouvoir les conduire à leur terme. Nous donnons de cette partie l'édition qui nous paraît la plus plausible, comprenant le texte initialement prévu et faisant apparaître clairement les modifications apportées dans les derniers jours.
10,40 €

A la recherche du temps perdu : Sodome et Gomorrhe - Tome 1

"Nous entendions la voix de M. de Charlus tout près de nous : "Comment ? vous vous appelez Victurnien, comme dans Le Cabinet des Antiques", disait le Baron pour prolonger la conversation avec les deux jeunes gens. "De Balzac; oui", répondit l'aîné des Surgis qui n'avait jamais lu une ligne du romancier, mais à qui son professeur avait signalé, il y avait quelques jours, la similitude de son prénom avec celui de d'Esgrignon. Mme de Surgis était ravie de voir son fils briller et M. de Charlus extasié devant tant de science."
8,10 €

A la recherche du temps perdu : Sodome et Gomorrhe - Tome 2

«Au nombre des habitués de Mme Verdurin, et le plus fidèle de tous, comptait maintenant depuis plusieurs mois M. de Charlus. Régulièrement, trois fois par semaine, les voyageurs qui stationnaient dans les salles d'attente ou sur le quai de Donciéres-Ouest voyaient passer ce gros homme aux cheveux gris, aux moustaches noires, les lèvres rougies d'un fard qui se remarque moins à la fin de la saison que l'été où le grand jour le rendait plus cru et la chaleur à demi liquide. Tout en se dirigeant vers le petit chemin de fer, il ne pouvait s'empêcher (seulement par habitude de connaisseur, puisque maintenant il avait un sentiment qui le rendait chaste ou du moins, la plupart du temps, fidèle) de jeter sur les hommes de peine, les militaires, les jeunes gens en costume de tennis, un regard furtif, à la fois inquisitorial et timoré, après lequel il baissait aussitôt ses paupières sur ses yeux presques clos avec l'onction d'un ecclésiastique en train de dire son chapelet, avec la réserve d'une épouse vouée à son unique amour ou d'une jeune fille bien élevée.»
9,80 €