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Grèce

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Revue Desmos-le Lien N.48 - Karaguiozis Le Grec

Carte blanche sur fond bleu à…
Michel Sivignon, 1915 : Un étrange voyage en Grèce dans l’Europe en guerre, à la recherche du haschich
 
Dossier
E. Zachos Papazachariou, Histoire du théâtre d’ombres
Yannis Tsarouchis, Leçon de vérité avec Karaguiozis, le seul théâtre néo-hellénique
Michalis Ieronymidis, Le théâtre d’ombres dans les luttes populaires
Konstantinos Bouras, Alexandre le Grand et le Dragon maudit. L’art  traditionnel du théâtre d’ombres revit
Yannis Hadzis, Passé, présent et avenir du théâtre d’ombres grec
Le serpent maudit (Comédie en trois actes)
 
Face à face
Dimitris Anguélis , 1989
 
La Grèce revisitée
Raymond Dubois, Un navire chargé d’oubli (extrait)
Nicole Dubois-Tartacap, Kaliméra (extrait)
13,00 €

Rhetorique des Passions. - 3ème édition

Ni moyens ni fins, les passions sont les réponses aux représentations qu'autrui se fait de nous , ce sont donc des représentations au second degré. On appellera cela, plus tard, des formes de la conscience de soi. D'ailleurs, si l'on se penche sur la liste des passions que donne Aristote, on voit bien qu'il n'y a pas là ce que les Modernes appelleraient passions puisqu'il y a, parmi elles, le calme et la honte. On voit mal un contemporain se dire pris de la passion du calme, par exemple ! Quelles sont ces passions chez Aristote ? Dans "La Rhétorique", les passions représentent des réponses à autrui et, plus précisément, à la représentation qu'il se fait de nous. Les passions reflètent au fond les représentations que nous nous faisons des autres, étant donné ce qu'ils sont par rapport à nous, en réalité ou dans notre imaginaire. Autant dire qu'il y a là un jeu d'images, sinon d'images réciproques, bien plus que la source des réactions morales, dont l'objet serait alors celui de l'Ethique. (Michel Meyer)
7,65 €

Rhigas Vélestinlis (1757-1798) - Intellectuel et combattant de la liberté

Actes du colloque international UNESCO, 12 et 13 décembre 1998
27,00 €

Rire avec les anciens - L'humour des Grecs et des Romains

Bienvenue dans les joyeux banquets et dans les aimables cercles littéraires des Grecs et des Romains ! Les Anciens, de joyeux drilles ? Eux, les dignes, les sérieux, les vénérables fondateurs de notre philosophie, de notre politique, de notre littérature, ont pourtant un aspect très moderne : leur aptitude à faire rire le lecteur en créant avec lui une connivence amusée, tout particulièrement en usant de cette forme de comique subtil que nous appelons l'humour.
L'humour est présent partout : bien sûr dans les comédies qui s'élèvent souvent au-dessus de la farce, mais aussi dans des genres moins attendus comme l'épopée ou l'histoire. Mais c'est surtout à l'occasion de dialogues, d'échanges épistolaires, de récits, que chacun laisse libre cours à sa fantaisie, en cherchant à faire rire ou sourire un interlocuteur qui sait apprécier les jeux de mots, l'impertinence du point de vue, les imaginations plaisantes.
Alors, à votre tour de sourire avec la centaine de textes courts et piquants rassemblés ici.
15,00 €

Rouge sang - Crimes et sentiments en Grèce et à Rome

L'imaginaire collectif contemporain perçoit l'Antiquité comme sanguinaire. Sur scène, dans l'arène, sur le champ de bataille ou dans les sanctuaires, le sang coule. Porteur de vie et de mort, il est autant souillure qu'élixir, il a quelque chose de mystérieux ; il coagule ou non, il pervertit ou soigne. Le sang, c'est celui que l'on transmet à ses fils, celui des liens familiaux qui déterminent l'appartenance à une lignée ou l'exclusion, c'est aussi le grand baromètre de la vie, celui des saisons du corps féminin ou qui sourd de la blessure du guerrier, l'un donne la vie, l'autre la reprend. Ambivalent, impur et vital, mortifère et magique, le sang recèle tous les fantasmes et toutes les peurs de l'Antiquité. Mais la fascination et la répulsion qu'il exerce sur les Anciens nous sont-elles si étrangères ?
15,00 €

Salonique : Ville juive, ville ottomane, ville grecque

Salonique demeure au centre tant de l'expérience historique que de l'imaginaire sépharades. Les Juifs sépharades, qui se sont installés en nombre dans la ville après leur expulsion d'Espagne à partir du XVe siècle, y ont longtemps constitué une majorité de la population et ont marqué son histoire. Sa. sortie du giron ottoman et son rattachement à la Grèce, en 1913, il y a un siècle, entameront un processus de lent déclin, s'achevant dans l'anéantissement de la Shoah. Parée du halo d'une grandeur passée, Salonique est aussi le lieu par excellence de la tragédie. C'est de cette trajectoire unique, à la fois fantasmée et oubliée, que cet ouvrage entend rendre compte.
15,00 €

Salonique juive et ottomane - Les mémoires de Sa'adi Besalel a-levi, édition bilingue ladino-français

Les mémoires de Sa'adi Besalel a-Levi (1820-1903) constituent la première autobiographie connue d'un juif salonicien. Rédigées en judéo-espagnol à partir de 1881, elles offrent un exceptionnel panorama de la vie dans la Salonique juive et ottomane au XIXe siècle. Leur importance tient tant à la personnalité de leur auteur à la fois imprimeur, éditeur, journaliste, chantre et compositeur qu'à leur contenu qui joint à une vision éminemment subjective du monde juif ottoman, des descriptions d'ordre ethnographique, des aperçus de l'organisation communautaire, des luttes de pouvoir au sein de celle-ci, et enfin un plaidoyer pro-domo qui prend un caractère ardent et poignant. Publié sous forme d'extraits dans plusieurs journaux, ce texte a exercé une grande influence sur la manière dont l'histoire des Juifs de Salonique a été remémorée et historicisée. Longtemps donné pour perdu, le manuscrit original rédigé en cursives hébraïques orientales (soletreo) a été redécouvert fortuitement à la Bibliothèque nationale d'Israël et est reparu en 2012 aux Presses de Stanford dans une remarquable édition intégrale désormais accessible au public francophone.
28,80 €

Simone Weil et la Grèce

Le but de ce livre est de montrer l'influence décisive de la pensée grecque sur l'œuvre de Simone Weil. A partir de la notion weilienne de " lecture ", l'auteur essaie d'exposer en détail la façon dont Simone Weil s'approprie la tradition grecque. En fait, c'est toute cette tradition qui dans sa grande diversité créatrice - l'histoire, l'art, la littérature, la science et la philosophie - lui fournit les éléments qui illustreront les différents niveaux de lecture par elle conçus : la nécessité, l'ordre et Dieu. Ainsi, connaître la Grèce de Simone Weil devient pour le lecteur une condition presque indispensable pour mieux connaître la philosophie weilienne elle-même. Ce que Simone Weil nous propose au long de ses réflexions très originales et profondes n'est pas, pourtant, un simple retour romantique à la Grèce, mais surtout un aller vers la Grèce, c'est-à-dire, un aller vers sa Grèce. La Grèce de la force, de la nécessité et du malheur, bien sûr, mais aussi la Grèce de la beauté, de la grâce et de la recherche de Dieu par l'homme.
25,90 €

Smyrne dans la guerre

Smyrne a une place particulière dans la memoire collective. II est bon que des historiens se penchent sur ce passé souvent fantasme et encore cause d'enthousiasmes nostalgiques ou, et c'est pire, de rancoeurs mortifères. Inversement, la turcité d'Izmir et la conviction que septembre 1922 fut une juste libération sont bien ancrées dans le discours officiel du pays voisin. Smyrne s'est transformée d'échelle commerciale levantine sur une mer ottomane en une ville frontière lors du recul territorial ottoman entame dès la fin du XVIIe siècle. Enjeu de convoitises diverses, la grecque et la turque nationaliste n'étant que les plus légitimes, la ville est epargnée pendant le premier conflit mondial mais à la defaite de l'Empire ottoman, alors que les structures imperiales semblent devoir s'effacer, la Grèce prend pied sur le continent asiatique et des membres de l'élite ottomane forment le mouvement national pour contrer la dislocation de ce qui reste de leur Etat. L'expansion grecque accorde quelques annees de repit à la Smyrne chretienne. La victoire turque de septembre 1922, aidée par la Russie bolchevique, l'Italie puis la France, pour les soutiens les plus visibles, évince la Grece qui s'est isolée sur le plan politique, diplomatique et qui n'a plus les moyens militaires pour assurer l'annexion de Smyrne. L'étude s'attache à montrer la multiplicité des étapes d'évolutions qui n'avaient rien d'ineluctables.
25,44 €