Les Grecs et les Romains s'inquiétaient de la disparition des abeilles, du trafic de l'ivoire, observaient le tourisme de masse et se plaignaient de la pollution sonore. Ils faisaient des plats à emporter, taguaient les murs et embrassaient les arbres. Rien de ce que l'on pense nouveau ne l'est. Ce voyage malicieux dans le temps est là pour nous en convaincre. Les Grecs et les Romains s'inquiétaient de la disparition des abeilles, du trafic de l'ivoire, observaient le tourisme de masse et se plaignaient de la pollution sonore.
Ils pratiquaient la liposuccion, savaient que faire l'amour est bénéfique, avaient déjà calculé la circonférence de la terre, inventé le chauffage au sol, et traité César de baiseur chauve. Ils ne mangeaient pas de fèves parce que c'est manger des âmes, criaient trois fois le nom des morts, faisaient des blagues et des plats à emporter, taguaient les murs et embrassaient les arbres. Rien de ce que l'on pense nouveau ne l'est.
Ce voyage malicieux dans le temps et sur les rives de la Méditerranée est là pour nous en convaincre. Véronique Bruez a le goût du bonheur. Elle a choisi pour devise le mot grec de Kaïré ! Réjouis-toi ! Belle invite pour entrer dans ce florilège d'un monde réel et poétique, bouquet de ses humeurs, expériences et pérégrinations...