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Φιλοσοφία

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La complexité humaine

Complexus : ce qui est tissé ensemble. L'unité de la recherche d'Edgar Morin est dans le souci d'une connaissance ni mutilée ni cloisonnée, qui puisse respecter l'individuel et le singulier tout en l'insérant dans son contexte et son ensemble. Dans ce sens, il a effectué des recherches en sociologie contemporaine (L'Esprit du Temps, La Métamorphose de Plozevet, La Rumeur d'Orléans) ; il s'est efforcé de concevoir la complexité anthropo-sociale en y incluant la dimension biologique et la dimension imaginaire (L'Homme et la mort, Le Cinéma ou l'homme imaginaire, Le Paradigme perdu) ; il a énoncé un diagnostic et une éthique pour les problèmes fondamentaux de notre temps (Pour sortir du XXe siècle, Penser l'Europe, Terre-Patrie) ; enfin, il s'est consacré à l'élaboration d'une Méthode (La Méthode, 1. La Nature, 2. La Vie de la vie, 3. La Connaissance de la connaissance, 4. Les Idées) pour réformer la pensée.
11,50 €

La dernière avant-garde - Le Christ ou le néant

La modernité est morte. Cet essai en prend acte, mais refuse le déni comme la décomposition postmoderne. En se reliant au XIIe siècle, à l'esprit cistercien, à la révélation chrétienne, il propose une issue transcendante à l'impasse actuelle ; une dernière avant-garde. " L'art se dégrade comme le reste, son moteur s'enraye, on se contenterait bien de quelques agents d'ambiance. " Voici une prophétie issue d'une conversion.
Celle de l'écrivain Romaric Sangars. L'art occidental est en panne. L'humanité s'essouffle. Plus de grand récit, plus d'ambition grandiose. Il est temps de faire renaître l'élan, d'en retrouver l'amorce : la révélation chrétienne. Elle s'est affirmée, au xiie siècle, avec la mystique cistercienne, suscitant une formidable dynamique créatrice et spirituelle. Mais, depuis, cette dynamique s'est déréglée, nous livrant au néant.
Privé de souffle, l'art s'épuise et patauge désormais dans la monotonie, la médiocrité, le bégaiement parodique. A présent, soit nous tombons dans l'abîme, soit nous nous donnons les moyens de franchir ce cap critique. L'art se doit de revenir à la révélation chrétienne et au rapport unique, supérieur aux modernes, qu'elle a pu nouer entre l'Homme, l'Histoire et la Raison. Un essai inédit, intense et radical, qui entend rappeler la grandeur à laquelle nous sommes destinés.
20,70 €

La dialectique de la durée

«Un philosophe ne peut pas chercher tranquillement la quiétude. Il lui faut des preuves métaphysiques pour qu'il accepte le repos comme un droit de la pensée ; il lui faut des expériences multiples et de longues discussions pour qu'il admette le repos comme un des éléments du devenir. Le lecteur devra donc pardonner le caractère tendu d'un livre qui fait bon marché des conseils et des exemples familiers pour aller tout de suite à la conviction que le repos est inscrit au coeur de l'être, que nous devons le sentir au fond même de notre être, intimement mêlé au devenir imparti à notre être, au niveau même de la réalité temporelle sur laquelle s'appuient notre conscience et notre personne.»
11,00 €

La dimension cachée

La dimension cachée, c'est celle du territoire de tout être vivant, animal ou humain, de l'espace nécessaire à son équilibre. Mais, chez l'homme, cette dimension devient culturelle. Ainsi, chaque civilisation a sa manière de concevoir les déplacements du corps, l'agencement des maisons, les conditions de la conversation, les frontières de l'intimité. Ces études comparatives jettent une lumière neuve sur la connaissance que nous pouvons avoir d'autrui et sur le danger que nous courons, dans nos cités modernes, à ignorer cette dimension cachée : peut-être est-ce moins le surpeuplement qui nous menace que la perte de notre identité.
6,00 €

La mauvaise conscience

"Heureuse la malheureuse conscience, car son malheur n'est qu'une feinte, une ruse profonde de la vie ; heureuse la mauvaise conscience, elle qui connaîtra la joie violente de renaître..." La mauvaise conscience constitue le premier objet philosophique sur lequel le jeune Jankélévitch, à l'aube d'une brillante carrière académique, déploie dès 1933 sa réflexion propre. La thèse qu'il lui consacre, reprise trente ans plus tard pour donner naissance à ce livre, contient déjà non seulement les grands thèmes de son oeuvre à venir mais aussi les piliers définitifs de sa philosophie morale.
Au centre, l'étude du remords. Indissociable de l'expérience du temps, fugace et irréversible, le remords manifeste à nos yeux l'acte irrévocable ; par là même, il est la preuve de notre liberté, et porte en lui la consolation du temps qui passe.
12,70 €

La métaphysique

"Vaste et orageux océan, empire de l'illusion, où maint brouillard, maints bancs de glace en fusion présentent l'image trompeuse de pays nouveaux, attirent le navigateur parti à la découverte, et l'entraînent en des aventures auxquelles il ne pourra plus s'arracher, mais dont il n'atteindra jamais le but". Par ces mots, Kant entend décrire les affres de la métaphysique. Quête du sens et de l'essence des choses, créatrice de concepts destinés à mieux saisir l'universalité et la transcendance, la métaphysique cherche à penser ce qui est "au-delà des réalités physiques".
Si beaucoup de penseurs l'ont critiquée, elle n'en reste pas moins fascinante. Peut-on la pratiquer sans déjà raisonner en métaphysicien ? A quoi sert-elle ? Est-elle encore légitime aujourd'hui ? La métaphysique est-elle indissociable de l'expérience ou bien est-il possible de penser a priori ? Cette anthologie rassemble les plus grands textes sur la métaphysique, d'Aristote à Peter Strawson, en passant par Avicenne, Thomas d'Aquin, Descartes, Leibniz, Voltaire, Kant, Hegel, Schopenhauer, Comte, Engels, Mach, Peirce, James, Nietzsche, Bergson, Merleau-Ponty ou encore A J Ayer.
9,00 €

La naissance de la tragédie

" Nous aurons fait en esthétique un grand pas lorsque nous serons parvenus non seulement à la compréhension logique mais à l'immédiate certitude intuitive que l'entier développement de l'art est lié à la dualité de l'apollinien et du dionysiaque. Ces noms, nous les empruntons aux Grecs, lesquels ont donné à entendre le sens profond et la doctrine secrète de leur intuition esthétique dans les figures incisives et nettes de leur panthéon. C'est à leurs deux divinités de l'art, Apollon et Dionysos, que se rattache la connaissance que nous pouvons avoir dans le monde grec, d'une formidable opposition, quant à l'origine et quant au but, entre l'art plastique - l'art apollinien - et l'art non plastique qui est celui de Dionysos. Ces deux impulsions, si différentes, marchent de front, mais la plupart du temps en conflit ouvert, s'excitant mutuellement à des productions toujours nouvelles et de plus en plus vigoureuses afin de perpétuer en elles ce combat de contraires (entre lesquels le mot " art " qu'on leur attribue en commun ne fait qu'apparemment jeter un pont), jusqu'à ce qu'enfin, par un geste métaphysique miraculeux de la " volonté " hellénique, elles apparaissent accouplées l'une à l'autre et, dans cet accouplement, en viennent à engendrer l'œuvre d'art à la fois dionysiaque et apollinienne, la tragédie attique. " F. Ν.
9,00 €

La naissance du sens

La question de l'animalité de l'homme, qui préoccupe les sciences humaines et sociales depuis longtemps, est ici abordée dans une perspective qui récuse les réductionnismes, aussi bien sociologiques que biologiques, mais aussi le dualisme âme-corps hérité de la philosophie classique.Boris Cyrulnik expose son point de vue original sur la psychologie de l'enfant, qui permet de reformuler complètement le rapport entre l'inné et l'acquis, et donne une contribution nouvelle à la question del'inceste, débattue tant dans le domaine anthropologique que dans les écoles psychanalytiques.
7,60 €

La nostalgie - Quand donc est-on chez soi ? Ulysse, Enée, Arendt

Ouvrage paru en première édition chez Autrement en 2013. 12 000 ex vendus.
7,50 €

La Nuit obscure

"Plus les choses divines sont en soi claires et manifestes, plus elles sont naturellement obscures et cachées à l'âme. Il en est ici comme de la lumière naturelle : plus elle est claire, plus elle éblouit et obscurcit la pupille du hibou; plus on veut fixer le soleil en face, et plus on éblouit la puissance visuelle et on la prive de lumière; cette lumière dépasse la faiblesse de l'oeil. De même quand cette divine lumière de la contemplation investit l'âme qui n'est pas encore complètement éclairée, elle produit en elle des ténèbres spirituelles, parce que non seulement elle la dépasse, mais parce qu'elle la prive de son intelligence naturelle et en obscurcit l'acte. Voilà pourquoi saint Denis et d'autres théologiens mystiques appellent cette contemplation infuse un rayon de ténèbres". (Saint Jean de la Croix)
7,50 €