Au mitan de sa vie, endetté, incompris, Wagner songe au suicide. Voilà qu'un bienfaiteur survient, en la personne de Louis II de Bavière. Le jeune roi de vingt ans, conquis par le talent du compositeur, pourvoit à tous les besoins nécessaires à l'expression de son génie. Mécénat que n'apprécient pas ses conseillers, ni le peuple munichois - ils accusent Wagner de dilapider l'argent du royaume...