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Poésie

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"Heureux qui, comme Ulysse..." et autres poèmes - Avec un parcours sur le sonnet -

Un recueil rassemblant les poèmes les plus connus de Du Bellay, suivi d'un parcours littéraire sur la forme poétique du sonnet " . Dans une édition conforme aux nouveaux programmes de français en 2de, incluant notamment des prolongements artistiques et culturels et un dossier Nouveau bac. Le recueil De L'Olive aux Regrets en passant par les Antiquités de Rome, Joachim du Bellay, l'un des plus célèbres poètes de la Pléiade, invente une poésie tour à tour élégiaque et satirique.
Le recueil proposé ici rassemble ses poèmes les plus connus, offrant ainsi un panorama de l'oeuvre de cet auteur majeur de la Renaissance. Le parcours sur le sonnet 10 sonnets, de Pétrarque à Pierre Vinclair, en passant par Ronsard, Louise Labé ou encore Baudelaire, pour suivre l'évolution de cette forme poétique, de la Renaissance à nos jours. Le dossier Toutes les ressources utiles au lycéen pour étudier l'oeuvre dans le cadre des nouveaux programmes : - un avant-texte pour situer l'oeuvre dans son contexte - au fil du texte, la rubrique " Des clés pour la lecture linéaire" - après le texte : - des repères sur l'oeuvre - un groupement de textes complémentaires sur les poètes de la Pléiade - des sujets types pour l'écrit et l'oral du nouveau bac français Des prolongements artistiques et culturels Sur la peinture de la Renaissance : 6 oeuvres clés et des outils pour les analyser Et un guide pédagogique Sur www.
classiques-et-cie. com. En accès gratuit réservé aux enseignants, il inclut tous les corrigés : des questionnaires au fil du texte, des sujets de bac, des lectures d'images.
3,20 €

Alba

Alba se lit d’une traite. Dès les premiers vers, le lecteur est happé par le mystère de cette Alba insaisissable, ville d’abord, puis femme et, très vite ni l’une ni l’autre ou les deux à la fois. Chaque quartier d’Alba est un monde et tous ces mondes se dévoilent un à un, au rythme des jours de la semaine – chaque jour engendrant une nouvelle Alba – qui donne le sentiment d’un temps figé ou infini, sans passé ni avenir.
Tout au long de ce parcours écrit dans une prose poétique compacte, sèche et vive – dont le rythme est créé par un usage subtil de la répétition et de la variation –, s’interpose l’autre Alba, la femme. Elle observe le monde et soi-même, à la fois proche dans ses postures, ses gestes simples que saisit le poète, et distante, mystérieuse car frappée de mutisme.
Thomas Tsalapatis s’empare de la cité aride qui l’entoure et l’observe comme à travers un kaléidoscope, laissant chacun reconstituer l’identité d’Alba. Et il nous offre une vision métaphorique du réel qu’on n’oublie pas de sitôt.
14,00 €

Alcools

Rassemble des poèmes composés par Apollinaire entre 1898 et 1913, accompagnés d'un dossier comprenant trois lettres du poète, les hommages poétiques de B. Cendrars, P. Reverdy, M. Jacob, L. Aragon ou encore A. Ginsberg, ainsi que des photographies d'Apollinaire et d'A. Rouveyre.
6,60 €

Ars Poetica Poemes bibliques

À propos

Les deux derniers recueils de Yorgos Thèmelis (de 1974 et 1975) présentés et traduits du grec moderne par Bernard Grasset, avec le texte original en regard. Yorgos Thèmelis, reconnu et honoré en Grèce, aborde le poème comme un mystère incarné auquel se livrer. L'inspiration biblique confronte l'éthique du don à l'expérience du sacrifice enduré dans un univers d' «aveugles» voués au mercantilisme.


21,99 €

Bohème

Le poème Ma Bohème (Fantaisie)d'Arthur Rimbaud est associé à une oeuvre d'Ernest Pignon-Ernest. « Je m'en allais, les poings dans mes poches crevées... »
6,90 €

Cahier de verdure - Suivi de Après beaucoup d'années

Les deux recueils rassemblés ici se tiennent sur un versant apaisé de l'oeuvre de Philippe Jaccottet, et témoignent d'une prise de distance avec les peurs, les douleurs, les alarmes passées. Non que la destinée humaine ait changé de trajectoire et se soit magiquement affranchie de sa finitude, mais des passages, des éclaircies sont ici entrevus qui tentent de déjouer les pièges du temps. Depuis le dessin général des paysages jusqu'à la floraison ascensionnelle de la rose trémière (que le poète nomme la "passe-rose"), la nature se donne pour la médiatrice privilégiée, celle qui, fragmentée, diversifiée, voire chaotique, suggère pourtant l'unité de la création.
Et cette unité perceptible en chaque détail s'incarne dans l'écriture de Philippe Jaccottet qui joue ainsi de différentes formes d'expression (poèmes, proses poétiques, notes de carnet) pour, usant de la diversité comme un peintre des couleurs, composer un tableau qui estomperait son cadre et concilierait visible et invisible. Avec une économie de moyens qui lui est propre, Philippe Jaccottet dit l'essentiel : "que la poésie peut infléchir, fléchir un instant, le fer du sort.
Le reste, à laisser aux loquaces".
9,30 €

Calligrammes

"Dans une lettre adressée à André Billy pour le remercier d'un compte rendu, Apollinaire déclarait : "Quant aux Calligrammes, ils sont une idéalisation de la poésie vers-libriste et une précision typographique à l'époque où la typographie termine brillamment sa carrière, à l'aurore des moyens nouveaux de reproduction que sont le cinéma et le phonographe". Certes la carrière de la typographie, en donnant à ce mot son acception la plus large et en y intégrant tous les perfectionnements récents qu'Apollinaire ne connaissait pas : linotype, lumitype, etc., est bien loin d'être terminée, pourtant, près de cinquante ans plus tard (quand on lit ces textes si frais, on a peine à croire qu'ils ont été composés il y a déjà si longtemps), sa vision nous apparaît comme prophétique.
L'intérêt que, dès sa jeunesse, Apollinaire avait marqué pour les caractères cunéiformes et chinois, la sensibilité qu'il avait pour les vieux beaux livres du Moyen Age ou de la Renaissance, lui ont permis de sentir d'emblée ce qu'il y avait de décisif dans l'introduction flagrante de lettres et de mots dans leurs tableaux par les cubistes, et à l'interpréter dans le contexte de cette révolution culturelle en train de s'esquisser.
Le recueil projeté d'idéogrammes lyriques mis en souscription en 1914 et qui devait comprendre tous les calligrammes figuratifs de la première section de notre recueil "Ondes" (terme que la "Lettre-Océan" nous oblige à interpréter comme désignant avant tout les ondes de la radio), était, comme en témoigne son titre "Et moi aussi je suis peintre", une réponse poétique à la prise de possession de la lettre et du mot par la peinture cubiste, mais dès le "Bestiaire ou Cortège d'Orphée" de 1911 on voit posé de la façon la plus franche le problème du rapport entre le poème, son illustration et la page" Michel Butor.
9,30 €