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Magic Time

1990. Journaliste, Carter regagne son Mississippi natal pour couvrir la réouverture d'un procès douloureux : le meurtre de militants des droits civiques par le Ku Klux Klan, en 1965. Parmi les victimes : son premier amour. Le juge Ransom, son père, était alors chargé de l'affaire. Carter veut la vérité. Mais en déterrant le passé, il va découvrir un secret aussi terrible qu'inattendu... Inspirée d'un fait réel, cette enquête haletante maquillée en thriller plonge dans l'histoire politique violente et ségrégationniste de l'Amérique pour en tirer une poignante leçon d'humanité...
9,60 €

Main basse sur Athènes : gentrification

Main basse sur Athènes, un thriller politico-social dans l'Athènes de la crise. Gentrification : opération immobilière consistant à chasser les pauvres des centres-villes par des procédés plus ou moins licites, puis à rénover leurs logements avec l'aide de l'État, pour les revendre beaucoup plus cher. C'est dans ce contexte que le commissaire Mariétis, la cinquantaine bedonnante mais encore alerte, doit découvrir l'assassin d'un gros promoteur de la capitale. Nouant une alliance improbable avec un oligarque russe et une journaliste d'extrême-gauche, le policier mène une enquête haletante, d'agressions de l'extrême droite dans les quartiers immigrés, en folles poursuites de bolides sur les grands boulevards, jusqu'à un dénouement tout à fait atypique.
10,00 €

Mais leurs yeux dardaient sur Dieu

Eatonville, Floride. Janie Mae Crawford est de retour. Il lui aura fallu trois existences et trois mariages - avec le vieux Logan Killicks et ses sentiments trop frustes, avec le fringant Joe Starks et ses ambitions politiques dévorantes, avec Tea Cake enfin, promesse d'égalité dans un élan d'amour - pour toucher l'horizon de son rêve d'émancipation et de liberté. Portrait d'une femme entière animée par la force de son innocence, esprit libre bravant la rumeur du monde, Mais leurs yeux dardaient sur Dieu est un roman culte.
Et un immense chef-d'oeuvre.
12,60 €

Makavettas

La Grèce est sous le joug du pouvoir de l'armée ; après un putsch manqué contre le Président, chef de la junte, celui-ci donne carte blanche à l'officier Makavettas pour réduire à l'impuissance le dernier carré militaire rebelle. Une farce d'une irrésistible drôlerie, qui relate pourtant les dessous de la dictature des colonels, de 1967 à 1974.
20,50 €

Mal vu mal dit

Fasciné par le principe du philosophe irlandais Berkeley selon lequel "être c’est être perçu", Samuel Beckett l’applique ici, dans Mal vu mal dit, à l’acte d’écriture. Si le décor – un cabanon situé dans la caillasse d’une lande irlandaise – est relativement facile à planter car la nature, les couleurs, les objets, se laissent percevoir et décrire, comment peut-on percevoir les êtres ? Va-t-elle se laisser voir, se laisser dire, ou bien va-t-elle demeurer indicible, cette vieille femme vêtue tout de "noir immaculé", qui ne quitte sa masure et ne s’aventure à fouler l’herbe grise que pour aller visiter une tombe d’un "blanc hurlant" ? Avec quel regard parvenir à la saisir ? Un conflit s’instaure entre pensée et vision, entre ce que voit, ou croit voir l’oeil ouvert, acharné, aux aguets, et ce que voit l’œil enfin fermé, paupières closes pour que puissent naître les "chimères" lorsque "l’œil couve sa pitance.
Assoupi dans son noir à lui". Tantôt la vieille femme est immobile, vue sous tel ou tel angle précis, comme soudain figée par l’objectif d’un photographe ; tantôt elle est parcourue d’un frémissement, ses lèvres se meuvent en un sourire infime, la voici alors douée du mouvement que seule lui confère la pensée de celui qui la crée. Ces deux regards possibles s’embrument parfois et se troublent comme se trouble aussi le rythme des mots lorsqu’ils cherchent à cerner ces insaisissables que sont le réel et son "contrepoison" : l’imaginaire.
13,80 €

Malevil

Une guerre atomique dévaste la planète, et dans la France détruite un groupe de survivants s'organise en communauté sédentaire derrière les remparts d'une forteresse. Le groupe arrivera-t-il à surmonter les dangers qui naissent chaque jour de sa situation, de l'indiscipline de ses membres, de leurs différences idéologiques, et surtout des bandes armées qui convoitent leurs réserves et leur " nid crénelé " ?
14,00 €

Malpertuis

Un chef d'oeuvre et classique de la littérature fantastique ! A la mort du riche oncle Cassave, les membres de sa famille doivent emménager dans son immense demeure, Malpertuis, et y vivre tous ensemble. C'est la condition s'ils veulent toucher l'héritage. Des phénomènes étranges, inquiétants et fantastiques se succèdent dans cette " prison mouvante de ténèbres " jusqu'à ce que l'horreur de la malédiction de Malpertuis atteigne son paroxysme le soir de Noël.
9,20 €

Malraux - La condition humaine et autres écrits

Royaume-Farfelu - La Condition humaine - Les Noyers de l'Altenburg - Esquisse d'une psychologie du cinéma - Le Triangle noir - Lazare - Textes 1922-1976. 

Ce volume donne à voir toutes les facettes de l'œuvre de Malraux. Le romancier y côtoie l'essayiste, le penseur de tous les arts – cinéma, peinture, sculpture, littérature – et du Musée imaginaire, l'(anti-)mémorialiste, et l'orateur dont la voix retentit dans «la nuit de décembre à Paris, avec des étoiles glacées au-dessus de la découpure des cheminées de Daumier», pour accompagner Jean Moulin au Panthéon. Cette voix en apparence officielle a parfois couvert celle de l'écrivain. L'une et l'autre sont pourtant au service d'une même réflexion sur la condition de l'homme. Le titre du roman de 1933, La Condition humaine, pourrait être celui de l'œuvre tout entière.
Au tragique de l'Histoire, qui fait la toile de fond des romans et, aussi bien, celle des écrits mémoriels, répondent toujours, chez Malraux, des scènes de fraternité, parmi les plus fortes que l'on ait jamais écrites. À la pensée de la mort succède la grâce fugitive d'un pur étonnement de vivre. Au monde tel qu'il est s'oppose la création artistique, qui ne transcrit pas le réel, mais rivalise avec lui. Partout, cette «avidité d'absolu» que Malraux avait perçue chez Goya. Partout aussi, cette touche de farfelu grâce à laquelle l'écrivain, sa vie durant, a entendu faire contrepoids à l'Histoire et saper l'illusion d'un monde en ordre. «Me croyez-vous mort?» lui écrivait Picasso, que l'on avait oublié d'inviter à une exposition de ses propres œuvres. «Me croyez-vous ministre?» lui répondit Malraux.
Malraux, le croyez-vous ministre? Il l'a été, et non des moindres, dans une fidélité souvent mal comprise à ses engagements de toujours. Mais il fut avant tout un écrivain. Quarante ans après sa mort, où en sommes-nous avec Malraux écrivain? Ce volume est l'une des réponses possibles à cette question. Il propose une traversée de tout l'univers des formes explorées par Malraux, la (re)découverte d'ouvrages et de textes majeurs, inégalement célèbres, et l'occasion de percevoir la profonde unité d'une œuvre qui formulait, au siècle dernier, toutes les interrogations qui agitent notre temps et nos vies.

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62,50 € 50,00 €

Manderley for ever

"Je l'ai décrite comme si je la filmais, caméra à l'épaule, afin que mes lecteurs comprennent d'emblée qui elle était. J'ai décrypté ses livres, sa voix, son regard, sa façon de marcher, son rire. J'ai écouté ses enfants, ses petits-enfants. Autour des maisons qu'elle aimait avec passion, j'ai dressé le portrait d'une écrivaine atypique et envoûtante, méprisée des critiques parce qu'elle vendait des millions de livres. 
Son univers macabre et fascinant a engendré une oeuvre complexe, étonnamment noire, à l'opposé de l'étiquette "eau de rose" qui lui fut si injustement attribuée. Ce livre se lit comme un roman, mais je n'ai rien inventé. Tout y est vrai. C'est le roman d'une vie." Tatiana de Rosnay.
6,60 €