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Le faussaire, l'espionne et le faiseur de bombes

Novembre 1924, gare de Zurich : trois jeunes gens se croisent. La vie les attend, les voies à emprunter semblent innombrables. À chaque intersection, une décision s'impose pour engager leur destin et choisir leur camp : Émile Gilliéron, génial dessinateur, émigrera en Grèce où il immortalisera des oeuvres d'art de l'Antiquité. Laura d'Oriano, chanteuse de cabaret, risquera sa vie pendant la Seconde Guerre mondiale. Felix Bloch, grand physicien pacifiste, participera au programme américain de conception de la bombe atomique sans jamais se laisser dicter sa conduite. En biographe passionné et passionnant, Alex Capus raconte le cheminement de deux hommes et d'une femme ayant vécu intensément l'histoire du XXe siècle et signe un magnifique roman d'aventures en compagnie de trois personnalités historiques inoubliables.
9,70 €

Le festin chez la comtesse Fritouille et autres nouvelles

Être invité aux dîners du vendredi chez la comtesse Fritouille est un immense honneur: convives élégants, nourriture végétarienne et délicate, conversation raffinée. Mais certaines réceptions peuvent être surprenantes... Surprenants aussi ce juge d'instruction qui veut prouver à tout prix qu'Ignace K. est mort assassiné, ou Alice, jeune fille vierge, qui utilise son innocence avec une naïveté dérangeante.
2,00 €

Le feu - (Journal d'une escouade)

Pour les hommes du 231e régiment d'infanterie, les différences d'âge et de condition sociale n'importent plus. Tous sont venus s'enterrer dans les tranchées boueuses de Crouy, sous la pluie et le feu de la mitraille allemande. Leur seule certitude face aux armées ennemies : "I' faut t'nir." Barbusse fut l'un des leurs. Tiré de ses carnets de guerre, ce roman, prix Goncourt 1916, révéla à ceux de l'arrière le quotidien des poilus : leur courage, leur camaraderie, leur argot, mais aussi la saleté, l'attente et l'ennui.
Cette guerre, l'état-major, le gouvernement et la presse patriotique la censurent. Il faudra un roman comme Le Feu pour en dire toute la barbarie mécanique, mais aussi l'espoir : celui d'en sortir vivant...
6,40 €

Le Feu follet. (suivi de) Adieu à Gonzague

MaintenMaintenant, il savait tout le prix de Dorothée. Au fond de lui-même, il croyait qu'il avait gardé un pouvoir sur elle et qu'il pouvait la reprendre, si enfin il s'en donnait la peine. Et il ne pouvait pas croire que l'émoi qu'il ressentait ne fût pas communicatif. Elle avait l'air si bon, sur cette photo. Sa bouche répétait ce que disaient les yeux : une tendresse timide. Ses seins frêles disaient encore la même chose, et sa peau qui fuyait sous ses doigts, ses mains friables.ant, il savait tout le prix de Dorothée. Au fond de lui-même, il croyait qu'il avait gardé un pouvoir sur elle et qu'il pouvait la reprendre, si enfin il s'en donnait la peine. Et il ne pouvait pas croire que l'émoi qu'il ressentait ne fût pas communicatif. Elle avait l'air si bon, sur cette photo. Sa bouche répétait ce que disaient les yeux : une tendresse timide. Ses seins frêles disaient encore la même chose, et sa peau qui fuyait sous ses doigts, ses mains friables.
7,90 €

Le fil des souvenirs

Au large de la Grèce, à Thessalonique en 1917. Dimitris, né le jour de l'incendie qui a détruit la ville obligeant sa famille à habiter dans les quartiers populaires, et Katerina, une réfugiée turque, se retrouvent confrontés aux bouleversements historiques que traverse la Grèce.
11,20 €

Le fils de l’esclave

Comme toutes les pièces de Xènia Kaloyeropoùlou, Le fils de l’esclave est une adaptation personnelle d’un texte antérieur. Ici, l’auteure s’inspire très librement d’un conte populaire de l’île de S`ymi, dans le Dodécanèse. Un conte qui sous sa simplicité apparente donne à voir des caractères et des situations complexes et laisse deviner pas mal de secrets.  
 
Jouée pendant deux saisons, prix de la meilleure pièce pour 2000-2001 décerné par l’Union des critiques de théâtre, la pièce a connu un succès égal à l’Ulyssindbad de la même auteure — ce qui n’est pas peu dire. Il y avait dans la salle, comme pour ses autres pièces, autant d’adultes que d’enfants. Car le théâtre de Kaloyeropoùlou, destiné au jeune public aussi, a de quoi toucher tous les âges. Il rajeunit les adultes et aide les enfants à grandir.
12,00 €

Le fils du charpentier

Gregorios est un exilé Grec contraint d'abandonner sa terre natale après la défaite de sa cité face aux Romains. Echoué loin de sa patrie, sa rencontre inattendue avec le fils du charpentier de ce village hébreu perdu où l'étranger n'est pas le bienvenu en cette période d'occupation par le puissant empire romain, va bouleverser sa vie de vieux potier solitaire. Au fil du temps, une amitié semble se développer entre le vieux Grec et ce petit Hébreu admirant ses pots et posant des questions sur tout. Ce dernier finira par lui confier qu'il est à la recherche d'un nabi, un guerrier invincible censé vaincre les Romains pour libérer les Hébreux. Gregorios acceptera-t-il d'aider le petit Hébreu à trouver ce guerrier aux pouvoirs surhumains, lui qui a assisté à la défaite de la Grèce malgré la présence de ses dieux ? Le petit Hébreu réussira-t-il à trouver le nabi ?
23,20 €

Le fils du ciel. Chronique des jours souverains

Avec son mélange de prose sacrée et de poèmes, son style qui est celui des œuvres les plus ambitieuses, ce livre est une somme des diverses entreprises de Segalen. Magnifique exemple d'exotisme comme l'entendait le poète, il nous donne aussi une transcription taoïste du monde. Pathétique histoire d'un souverain écrasé par le glorieux passé, dévoré par sa recherche d'une identité nouvelle alors que tout lui renvoie l'image d'un être aussi éparpillé que le héros d'un film d'Orson Welles devant les mille miroirs brisés qui le cernent, traduction ambiguë d'une passion où les mots conduisent toujours à autre chose qu'eux-mêmes, suggestion allégorique enfin d'une vérité plus haute que le langage, tels sont les caractères d'une œuvre dont on ne finit jamais d'épuiser le sens ou d'énumérer les multiples interprétations.
6,80 €

Le fils du concierge : nouvelle

La nouvelle de Ménis Koumandaréas s'organise autour d'incidents survenus dans le salon de coiffure d'Evripidis (Euripide) et des histoires qu'il raconte à ses clients. La mort plane autour du jeune Zissis, le fils d'un concierge des environs. Mais est-il bien celui qu'il prétend être ? et qui est ce vieil homme qui apparaît et qui affirme être son père alors que son propre fils s'est tué dans un accident de moto ? de quel drame le concierge est-il le témoin ?... Toute la tension du récit est là, dans ce huis clos absurde. Cette fable sur la vieillesse, le temps, la mort nous renvoie à la vanité des choses d'ici-bas. Les dessins de Michel Barzin, avec leur fausse légèreté, accentuent ce tragique et entrent en résonance avec le destin du Concierge, de Ménis Koumadaréas et de la Grèce actuelle.
16,10 €

Le fils du pauvre

Un village de montagne, Kabylie, début du siècle. C'est là que vivent les Menrad. Ils ne se rendent pas compte qu'ils sont pauvres. Ils sont comme les autres, voilà tout. Mouloud Feraoun raconte, à peine transposée, sa propre histoire. Il était voué à devenir berger, le destin en décidera autrement. Ce témoignage d'un admirable conteur, souvent comparé à Jack London et Maxime Gorki, est désormais un classique.
Avec une plume fluide, pudique et sincère, Mouloud Feraoun nous raconte avec des mots simples la vie d'un jeune kabyle avant l'indépendance de l'Algérie.
9,80 €