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Voyage autour de mon crâne

« Je ne connais pas de livre aussi beau, aussi "soutenable" dans l'appréhension qu'il nous communique, aussi extrême sur la confrontation morale et physique non pas tant à la mort qu'à l'intégrité du corps : machine, refuge, compagnon des heures. Comme si c'était cela, le vrai miracle de la Visitation. Magnifique. » C.-M. Cluny, Le Figaro littéraire « Sous sa plume, la misère humaine, la sienne mais aussi la nôtre, devient une aventure inoubliable. Vivre, vivre à tout prix, malgré les angoisses et les peurs : c'est là la leçon de ce livre. » Francine Paillet, Télérama « Ce voyage autour d'un crâne, c'est finalement une célébration de l'intelligence. Et de la liberté que donne une intelligence en éveil. » Nicole Zand, Le Monde
12,90 €

Voyage avec un âne dans les Cévennes

Ce roman est le compte rendu à la fois nostalgique et espiègle de la randonnée qu'effectua Stevenson avec une ânesse obstinée dans les Cévennes en 1878. Tandis que l'animal réinvente, à mesure de sa fantaisie, le chemin du voyage, son maître se prend peu à peu aux joies de l'errance. Eloge de la lenteur et du goût pour l'inutile, Voyage avec un âne dans les Cévennes nous invite "à voir le monde comme une bohème non pas vraiment raffinée, mais glorifiée et pacifiée" (Henry James).
9,20 €

Voyage dans l'Arc-en Ciel/ Ταξίδι στο Ουράνιο Τόξο

«Ήπια»
Ήπια τον ήλιο
που είχε πέσει
στο ποτήρι μου...

Δεν άφησα
ούτε μια σταγόνα
μα άφησα
το ποτήρι μου
πάνω στο γυάλινο
και σιδερένιο τραπέζι...
Έπειτα η βροχή
το γέμισε με δάκρυα,
ξεχείλισε κιόλας!

Αυτό ήταν!!
χωρίς καμία λέξη
ο χειμώνας είχε έρθει...



«J'ai bu...»
J'ai bu le soleil
qui etait tombe
dans mon verre.

Je n 'en ai pas laisse
une goutte
mais j'ai laisse
mon verre
sur la table de verre
et de fer...

Puis la pluie
l'a rempli de larmes,
il en a meme deborde.
Sans crier gare,
l'hiver etait arrive.

από
10,60 € 9,00 €

Voyage de noces

Prix Nobel de Littérature 2014 «Je suis tombé sur la vieille coupure de journal qui datait de l'hiver où Ingrid avait rencontré Rigaud. C'était Ingrid qui me l'avait donnée la dernière fois que je l'avais vue. Pendant le dîner, elle avait commencé à me parler de toute cette époque, et elle avait sorti de son sac un portefeuille en crocodile, et de ce portefeuille la coupure de journal soigneusement pliée, qu'elle avait gardée sur elle pendant toutes ces années. Je me souviens qu'elle s'était tue à ce moment-là et que son regard prenait une drôle d'expression, comme si elle voulait me transmettre un fardeau qui lui avait pesé depuis longtemps ou qu'elle devinait que moi aussi, plus tard, je partirais à sa recherche. C'était un tout petit entrefilet parmi les autres annonces, les demandes et les offres d'emplois, la rubrique des transactions immobilières et commerciales : "On recherche une jeune fille, Ingrid Teyrsen, seize ans, 1,60 m, visage ovale, yeux gris, manteau sport brun, pull-over bleu clair, jupe et chapeau beiges, chaussures sport noires. Adresser toutes indications à M. Teyrsen, 39 bis boulevard Ornano, Paris."»
6,20 €

Voyageur sous les étoiles

Et si Robert Louis Stevenson (1850-1894) avait réussi à trouver dans la vraie vie ce que les personnages de L'Ile au trésor cherchent si désespérément ? La biographie de l'écrivain écossais recèle en effet des mystères jamais élucidés : en 1889, Stevenson s'installe avec son épouse Fanny Osboume sur les îles Samoa. On a longtemps cru que le choix de ces contrées lointaines avait été motivé par le climat, l'écrivain voyageur souffrant depuis sa jeunesse de multiples affections pulmonaires.
Or, du point de vue de la santé de Stevenson, ce séjour fut catastrophique, puisqu'il se solda par sa mort prématurée en 1894. Sur le plan matériel, ce fut l'inverse : tout lui réussit. Pourtant, d'après Capus, ce ne sont ni les droits d'auteur ni un héritage qui auraient pu financer ce train de vie dispendieux... Mais alors, est-il possible que Stevenson ait pris la chasse au trésor au pied de la lettre ? En étayant son captivant récit d'aventures d'extraits de journaux, de lettres et des oeuvres de Stevenson, Alex Capus livre un magnifique voyage à travers le temps.
7,80 €

Vrykolakas le vampire grec

En 1945, le film d’horreur, L’île de la mort, mis en scène par Mark Robson et interprêté par Boris Karloff, célèbre Frankenstein du grand écran, fit connaître au grand public la figure du Brucolaque (Vrykolakas), sorte de vampire grec, dont, à la différence de son “cousin” slave, la force vitale ne dépendait pas de l’absorption de sang humain. Le Brucolaque, en outre, ne vit pas exclusivement la nuit et par sa seule présence il peut contaminer les maisons et les réfectoires. Ainsi, tout en étant échangé avec le plus connu des vampires par son statut d’être vivant suspendu entre la “non mort” et la “non vie”, il apparaît comme un hybride entre le dieu “Pan”, les harpies et les lamies de l’antiquité classique, et met en lumière un aspect peu connu du folklore grec de tous les temps : le caractère monstrueux et ténébreux, décidément différent de l’image exclusivement apollinienne souvent cultivée par les observateurs étrangers. Dans les textes littéraires sélectionnés dans ce recueil, le Brucolaque se présente au lecteur dans toute sa terrible puissance et violence en mettant à l’épreuve le monde ordonné des vivants. Ou bien peut-être sont-ils le miroir déformant des vivants, le côté d’autant plus vrai qu’il est caché ? Une occasion pour méditer et s’abandonner à la puissance de la grande littérature, qui une fois de plus se révèle être la clé d’accès idéale à notre âme.
13,00 €

Week-end avec Hellènes

Une nouvelle remplie d'homophonies et de jeux de mots.
4,00 €

West End

« Toi t'as été le premier, me dit-elle tout à coup comme un cheveu sur la soupe. De quoi tu parles, maman ? Comment ça de quoi je parle ? De quoi donc veux-tu que je parle. Toi t'es né à la pire époque. Tu as été le premier à naître sur l'île. Et à l'hôpital. Jusqu'à ce que tu viennes au monde, personne dans la famille n'était né hors de la maison. Et encore heureux, grâce à Dieu, parce que c'était horrible. Sur l'île, la moitié des bébés et des mères mouraient. Nous, les Andalous, sommes tous arrivés d'un coup et les médecins ne s'en sortaient pas. C'est un miracle que tu sois en vie.

C'est fou ce qu'on aime exagérer dans cette famille. »

Avec West End, José Morella entrelace diverses mémoires de l'histoire de l'Espagne : les années sombres du franquisme, l'histoire du traitement des maladies mentales ou celle de la famille du narrateur. Enquêtant sur son grand-père, il passe d'un registre à l'autre - grave ou loufoque, ironique. On est emporté, pris par l'émotion qui est la sienne lorsqu'enfin il parvient à tracer les contours de Nicomèdes, ce vieux monsieur si attachant.


27,60 €

Zadig ou La destinée : conte oriental et philosophique

Zadig est un conte oriental de 1748 sur la recherche du bonheur. La difficulté - et Voltaire nous le signifie dans un sourire - vient de ce que le bonheur ne dépend pas de nous seuls. Zadig, le héros, vertueux comme personne, sera ainsi amené à traverser des épreuves. Mais, si l'auteur retrace la destinée chaotique d'un personnage qui n'a pas ce qu'il mérite, la fin paraît heureuse cependant, comme dans tous les contes, et nous soulage... à moins que Voltaire ne se joue encore de nous.
3,00 €

Zaïre - Le fanatisme ou Mahomet le prophète - Nanine ou L'homme sans préjugé

Deux tragédies, une comédie et un drame bourgeois, proposant un échantillon de l'abondante production dramatique de Voltaire.
11,00 €